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il y a 6 ans
Le lendemain, mes parents sont déjà partis au travail lorsque je me réveille. Seule, je me prépare comme indiqué la veille et à 10h, je sors pour retrouver mon Maître munie de mon collier avec la peur d’attendre bêtement dehors pour rien. Mais encore une fois, fidèle à ses paroles, il est présent à l’heure prévue. Je monte dans son véhicule puis, pour me dire bonjour, il m’embrasse à pleine bouche, sa langue cherchant la mienne. Tout mon corps frissonne. Je suis totalement en transe suite à ce baiser échangé et totalement soulagée de le voir.
Même le faite d’être potentiellement vue par les voisins ne m’inquiète pas le moins du monde.
Sur la route, tout juste sortis du lotissement, il m’ordonne de me mettre nue. Je m’exécute sans réfléchir. Je commence à me faire à la nudité et bien que je sente les regards des autres, je n’ai plus de craintes sur la suite. Il m’a prouvée son sérieux dans le choix des hommes envers lesquels il m’offre. Puis, il ne me dira pas le moindre mot. Nous roulons plusieurs minutes quand nous arrivons dans une zone désaffectée. Au fond de la zone, un vieux hangar qui semble épargné par le temps. Il est 10h50 :
« Tu descends ici ! »
Je sors de la voiture puis face à mon Maître, il reprend.
« Tu sais ce que tu fais ici ?
-
Je suis votre soumise.
-
En effet. Tu es prête à m’obéir.
-
Oui Maître et vous le savez.
-
Tu vas entrer dans ce hangar. A l’intérieur, je t’interdis de refuser quoi que ce soit. Maintenant, file, ca va répondre à tes questions !
-
Mes questions ? »
Mes questions ? Que veut-il dire ? Je suis prise d’un doute au moment d’entrer. Comme peur de ce qui m’attends a l’intérieur. J’ouvre la porte et le contraste soleil, pénombre m’impose un temps d’adaptation. Je suis entrée mais je n’y vois rien. Il fait terriblement sombre ici quand je suis prise, une main sur la bouche comme l’avait fait Maître dans le centre commercial et l’autre main me coince le bras dans le dos. Un homme m’embrasse dans le cou et me glisse :
« Une bonne petite salope bien fraiche. On va bien s’amuser ».
Cet homme me pousse pour me faire avancer, visiblement, il semble y voir plus que moi. Sa phrase répond à une interrogation, sur ce que Maître m’a dit, « ca va répondre à tes questions ». J’ai compris qu’il va m’offrir à nouveau. Je suis poussée comme jetée au sol sur un tapis, un matelas, non c’est un tapis…Je n’y vois pas grand-chose, tout juste des ombres qui se dessinent petit à petit. Tout a coup, je suis aveuglée par des projecteurs. Une lumière forte et aveuglante. Le temps de m’accoutumer pour constater plusieurs hommes nus. Certains sont déjà en érection et n’attendent que moi. Je n’ose pas bouger ou parler. L’homme qui m’a poussée et qui se trouve encore derrière moi prend la parole.
« Il parait que tu es une bonne salope, selon ton Maître. Ca tombe bien, on a tous les couilles bien pleines et tu vas nous soulager. »
J’essaye de compter le nombre de mecs présents quand le même gars ajoute.
« Si tu t’inquiète de savoir combien nous sommes, sache que nous sommes 12. Allez ouvre la bouche et suce salope, montre nous tes talents pendant qu’on te baise. » Je sais que je ne peux pas refuser donc j’ouvre la bouche et je commence à sucer cet homme. Rapidement, je suis mise à 4 pattes pour être pénétrée aussi. Je vais pour me retourner et regarder quand le gars que je suce me stop.
« Non, non, tu ne te retourne pas. Toi tu es la pour sucer. Ne t’inquiète pas pour tes trous, on va bien te baiser. Tu nous suce et tu t’appliques. Tu ne dois pas te soucier de tes trous, on va bien te défoncer. Et rassure toi, on met des capotes, comme prévu avec ton Maître.»
A peine a-t-il fini qu’un autre succède au premier dans ma chatte. Les gars vont se suivre comme pour gouter ma chatte avant la vraie baise. Les positions vont se suivre et toujours une bite en bouche à sucer plus un ou deux mecs à branler en plus. Je m’applique entièrement à rendre ces hommes heureux de ma prestation, et surtout que mon Maître soit heureux et fier de moi. La chaleur m’envahie petit à petit et je me laisse aller. Quitte a être la, autant y prendre du plaisir.
Tout ce passe tranquillement quand un gars que je suce me dit
« Tu dois avoir soiffe » à peine a-t-il dit cela qu’il m’éjacule dans le fond de la gorge. Rapidement, je fais face à des violentes remontées et je finis par recracher le sperme de ma bouche car impossible pour moi d’avaler.
Vexé, il me met une bonne gifle. « Une salope de ton espèce avale le sperme. Tu n’as pas intérêt à recommencer. »
J’ai la joue en feu tant sa gifle m’a fait mal. Je suis en pleure et j’ai beaucoup de mal a me remettre a la pipe. Moment choisi par les mecs pour me sodomiser. Sauf que je me rends compte qu’ils n’ont pas pour autant quitter ma chatte et que je suis dilatée trop fortement. Ca me déchire et j’ai mal. C’est trop pour moi qui n’ai été sodomisée qu’une seule fois.
L’homme qui m’a giflée a été viré par celui qui semble être le meneur du groupe. A son retour, il dira : « Le premier qui la maltraite autrement que sexuellement sera viré sans ménagement. On est la pour la baiser et rien d’autre. Respectez-la à minima. Vous avez une chance énorme de vous taper une fille comme elle. Ce n’est pas parce qu’elle est offerte que vous pouvez tout vous permettre.» Je le regarde et le remercie chaleureusement car je sais maintenant qu’il va me protéger malgré la situation.
Cette fois, la cadence s’accélère et je subis de véritables doubles pénétrations avec un minimum de respect. Les hommes vont accélérer le rythme progressivement, me permettant d’y trouver mon compte. Mais, au final, aucune retenue, aucune gêne, aucune pitié. Je comprends vite qu’ils sont la pour eux et que je ne sers que leur appétit sexuel et rien d’autre. Pendant plusieurs minutes, plusieurs heures, que sais-je, je vais être manipulée, retournée, utilisée, baisée pour qu’ils puissent prendre leur pied au détriment de mon corps, de ma douleur ou de mes limites. Petit à petit, la douleur va laisser place à du plaisir. D’abord léger, il augmentera fortement pour finir en de violents orgasmes. Je jouie un nombre incalculable de fois. Car quitte a se faire baiser, autant prendre son pied et je ne me prive plus. Les mecs vont me passer plusieurs fois dessus. 2 ou 3 fois que sais-je…Je suis la pour ca et je me fiche du reste. J’en viens même a remercier mon Maître pour cet incroyable journée, sommet de ma vie sexuelle.
Mais, ils sont nombreux et ca devient long, très long, trop long pour moi seule et mon plaisir n’y est plus. Quand enfin cesse ce véritable calvaire sexuel ou mon plaisir s’est arrêté depuis longtemps déjà, je reprends mes esprits seules dans ce hangar couverte de sperme sur tout mon corps. Je suis totalement épuisée et mes orifices me font un peu mal. Ceci dit, ce n’est pas la même douleur que la veille avec mon dépucelage anale.
Je commence à réaliser ce que je viens de vivre, ce que je viens de faire. Après l’euphorie viennent les regrets. Je suis déçue et j’en veux à cet homme qui se veut être mon Maître. Comment a-t-il pu me faire ca ? Comment peut-il me faire vivre ca ? Pourquoi ca m’arrive ? Pourquoi moi ? Je le déteste, je veux fuir, je veux partir. Je suis dans une phase de refus de la situation et pourtant, pendant cette orgie, je ne pensais à rien d’autre qu’à bien me faire baiser et a prendre mon pied. Je me suis même surprise a remercier mon Maître de m’avoir permis de vivre tout ca.
Je me redresse mais une chaine m’en empêche. Un gros anneau dans le sol avec une chaine dans son prolongement qui a été cadenassé a mon collier, lui-même fermé par un cadenas derrière mon cou. Je suis piégée et seule dans ce hangar. Je tourne la tête partout et je découvre une gamelle de type gamelle a chien avec une inscription « Chienne Maëline ». Je m’en éloigne, je ne veux pas, je ne peux pas, je veux fuir. J’ai peur car il m’a dit que jamais il n’allait me séquestrer hors, c’est pour tant ce qu’il fait.
Pendant plusieurs minutes si ce n’est plus, je crie « au secours », « A l’aide », « Aidez-moi », mais rien, personne ne viendra me secourir. Plus le temps avance et plus mon angoisse monte. Je me vois déjà dans la rubrique faits divers. « Une jeune femme retrouvée morte attachée suite à une orgie sexuelle »
Je reste seule avec cette lumière et cette gamelle. Dans la gamelle, il y a de quoi boire et manger. Je ne tiens plus, je bois comme je peux et je mange tout. Ce n’est pas fameux, mais ca cale l’estomac.
Les projecteurs s’éteignent et le noir est pesant ce qui augmente mon angoisse, ma peur. La journée a été si épuisante. Le sommeil m’envahie malgré ma lutte pour rester éveillée. Je m’endors.
A mon réveil, je suis dans un lit ailleurs que dans ma chambre. Dans une chambre que je ne connais pas. Evidemment, je suis nue et hormis mon collier qui ne m’a pas quitté, le reste n’est plus la. Le reste ? Les traces de spermes et de sueur de cette orgie sexuelle de tout à l’heure. Je me sens « propre » enfin parfumée et lavée. Pourtant je n’ai pas le moindre souvenir.
Je sors de la chambre pour suivre un couloir et arriver dans un petit salon. Il n’y a personne. Je poursuis la visite pour arriver dans une petite cuisine et y trouver mon Bourreau.
« -Bonjour
-
Tiens, Maëline ! te voila enfin levée. Tu as sacrément dormie. Ca t’a épuisée tant que ca ton gang bang ?
-
…..
-
Tu as perdue ta langue ?
-
Je dois rentrer chez moi.
-
Ne t’en fais pas pour ca, j’ai pris la liberté d’envoyer des messages a tes parents pour leur dire que tu es chez une copine pour quelques jours.
-
Quoi ? Mais…non…quand ?
-
Ma pauvre soumise, tu es complètement déboussolée. Après ton gang bang de lundi, je t’ai récupérée endormie vers 17h45. Tu dormais si bien que j’ai décidé de te faire venir ici, chez moi. Voyant l’heure avancer, j’ai prévenu tes parents avec ton téléphone, ne t’en fais pas, ils n’ont pas posés de questions. Je pensais que tu te serais réveillée hier mais non. Tu étais dans un sommeil profond. J’ai veillé sur toi, je t’ai lavée de toutes ces traces de sperme que tu as reçu. tu as dormie jusqu'à ce matin.
-
Il est quelle heure, nous sommes quel jour ?
-
Il est 8h37 et nous sommes mercredi.
-
J’ai dormie tout ce temps ? Comment est ce possible ?
-
Toi seule le sais. Maintenant, tu es en repos aujourd’hui. Tu n’as pas de sexe de prévu a par moi, bien entendu. Mais demain, j’ai des copains qui vienne, tu devras leur vider les couilles.
-
Pitié, j’en peux plus. Je ne tiens plus avec tout ca. Ca fait trop pour moi.
-
Maëline, je te donne un ordre. Et je sais que tu obéiras comme a chaque fois. Tu n’es qu’une pure salope et tu commences à t’en rendre compte. A aucun moment, tu n’as refusé la moindre relation sexuelle que je t’ai proposée.
-
Mais c’est faux. Vous m’imposez des ordres. Je n’ai donc pas le choix.
-
Ah oui ? Dans les toilettes samedi, tu as été forcée, menacée, contrainte ?
-
Non, mais…
-
Mais quoi ? Tu aurais très bien pu crier voir fuir. Mais tu l’as fait de toi-même. Et dimanche ? je t’ai imposée de me sucer ? Je t’ai menacée pour t’enculer ?
-
(je baisse la tête) Non…
-
Et mon collègue, il a fait quoi ?
-
…
-
Dis le, il t’a fait quoi ?
-
Il s’est présenté devant moi.
-
Et ? il t’a forcée ? Imposée ? bloquée ?
-
Non, rien de tout ca.
-
Qui a commencé ?
-
C’est moi, Maître.
-
Exactement. C’est toi et tout comme avec le jeune du fast-food et lundi dans le hangar. Tu ne peux pas dire que tu ne savais pas à quoi t’attendre.
-
…. (Je reconnais qu’il a raison, c’étais si évident)
-
Tu n’es qu’une belle salope Maëline et tu aimes la bite. Je t’offre juste la possibilité d’assumer ton appétit sexuel. D’ailleurs, en parlant de sexe, ca me donne envie. Viens me sucer, je vais te baiser après. »
Je peux constater a quel point il a raison. Pas un geste ou une menace verbale, ni physique. Juste une demande que je vais accorder sans résistance. Je ne réussis pas à lutter et d’ailleurs, je comprends que je n’en ai pas envie non plus. Je m’installe entre ses jambes et je sors sa queue de son short pour commencer ma pipe. Avant mon Maître, je détestais sucer un garçon mais pour Maître, c’est tout l’inverse. Je raffole de sa verge, j’aime le sucer et lui faire plaisir. Quand Maître me redresse pour me pénétrer, j’ai chaud au ventre et je n’attends que le moment ou je vais le sentir en moi.
Le voila qui entre dans ma chatte avec ce coup de rein si spécifique, si intense. Mon dieu que c’est trop bon. Je suis totalement sous le charme de mon Maître et je lui dévoile mes sentiments « Je vous aime, Maître. Vous me baisez si bien ».
Il me baise toujours autant et toujours si fort, mais fort de mon aveu, il approfondi.
« -tu es réellement amoureuse ou est ce juste la baise qui te fait dire ca ?
-
Non Maître, je vous aime vraiment. Je sais que ca parait incroyable si tôt entre nous, mais je vous aime de tout mon cœur. J’ai eue si peur que vous ne veniez pas me chercher lundi matin. J’ai très mal dormie dans la nuit de dimanche a lundi par peur de ne plus vous revoir.
-
Et bien, j’ai ce que je voulais obtenir samedi. Je ne pensais pas que ca arrive si vite, mais tant mieux.
-
Je suis désolée si ca vous choque. Mais je ne sais pas cacher mes sentiments. Je suis folle amoureuse de vous et pitié Maître, j’espère que vous ne vous moquez pas de moi. J’espère que vous êtes sincère envers moi.
-
Très bien, dans ce cas, épouse-moi.
-
Quoi, vous êtes sérieux, Maître ?
-
Puisque tu m’aimes et que tu es heureuse a être ma soumise, que risques tu ? »
Maître accélère ses coups de bassins dans ma chatte en fusion, mes sens sont en éveil maximal et je suis au bord de la jouissance. Sa demande me fait l’effet d’un électrochoc.
« - Oh oui, Maître, baisez moi fort. Oui Maitre, je veux vous épouser, je veux être votre femme. »
Je ne sais même pas si je pense ce que je viens de dire mais pourtant, c’est dit. Je pars dans une jouissance folle au moment ou Maître éjacule au fond de ma chatte. Je suis heureuse et vidée par le plaisir. Mais tout a coup, alors que j’allais parler :
« - Nous allons donc nous mariés Maëline. Tu feras une magnifique épouse et une superbe soumise.
-
J’ai peut être répondue un peu vite Maître.
-
Ne me dis pas que tu n’as pas envie de devenir ma femme.
-
Non enfin si, enfin voila. Je suis encore très jeune, trop jeune pour vous épouser mais surtout, il y a un autre problème.
-
Lequel ?
-
Bah à chaque fois que vous me baisez,….
-
STOP. Je sais ce que tu vas dire. Je sais ce que je fais, j’en ai parfaitement conscience. A ton avis, ai-je déjà fais quoi que ce soit par hasard ?
-
Vous voulez dire que vous voulez me mettre…..
-
OUI !! je vais te mettre enceinte. Et le plus vite sera le mieux.
-
Mais enfin, pourquoi ? Et puis je ne peux pas, je suis trop jeune…
-
Maëline, tu viens de remarquer à l’ instant que je te remplie la chatte depuis samedi. Tu es peut être déjà enceinte. Je t’ai demandé de m’épousé et tu m’as dis oui. Tu acceptes de m’obéir depuis samedi sans discuter. Crois tu vraiment que je fasse les choses par hasard.
-
Je ne comprends pas. Je suis perdue Maître.
-
Je te l’ai dis et je te le redis. JE TE VEUX. Tu es venue à moi sans y être forcée, sans contraintes. Tu aimes ce que je te fais vivre et tu l’as reconnue. Tu as répondue oui pour devenir ma femme. Comme tu es aussi et surtout ma soumise, J’ai envie de te mettre enceinte. Tu vas donc tomber enceinte. »
Je ne sais quoi répondre à tout ca. Je me touche le ventre comme pour essayer de voir si je suis enceinte. Je pleure car la situation dépare et je ne maitrise vraiment rien. Ca va trop loin et je suis perdue. Maître s’approche de moi et ma cajole. Pour la première fois il montre de la tendresse envers moi. Je fonds en larme dans ses bras mais il se montre rassurant quand a ses intentions.
« Je ne te laisserai pas tomber, mais je ne changerai pas d’avis non plus. Je veux te mettre enceinte le plus vite possible. »
Comme si j’en avais besoin, il arbore une nouvelle érection. Sa verge est a portée de main et je saisie cette queue qui me fait jouir si fort. Je le suce de plaisir à nouveau et Maître ne manque pas de me le faire remarquer.
« Je vais t’offrir le choix Maëline. Car je veux que tu valides mes choix et que tu sois consentante. Tu es entrain de me sucer donc c’est que tu as encore envie de te faire baiser. Si c’est le cas, alors c’est que tu acceptes que je te mette enceinte. Dans le cas contraire, tu arrêtes de me sucer immédiatement. Je ferais tout pour t’accompagner si tu dois avorter. Mais, ca veut dire que je ne suis plus ton Maître, que je ne suis plus ton futur mari, que tu ne m’obéiras plus et donc que je ne te baiserai plus. Tu dois choisir Maëline. Vas dans la chambre et réfléchies. Tu prends le temps nécessaire et quand tu as décidée, tu m’appel. Sois tu es habillée, ce qui veut dire que tu me quittes, sois tu es nue, a me supplier de te mettre enceinte et de devenir ma femme. »
Me voila dans la chambre avec la plus grosse décision de toute ma vie à prendre. Je tourne et retourne le problème dans tous les sens mais 2 choses contradictoires se heurtes a moi. Je ne veux pas perdre ce Maître, car je vie quelque chose de fort depuis 4 jours. Mais je ne veux pas tomber enceinte ni me marier. C’est beaucoup trop tôt.
Malgré ca, je ne réussis pas à me résoudre à quitter mon Maître. Un véritable coup de foudre pour cet homme inconnu il y a encore 4 jours et dont je ne connais toujours le prénom ou le nom. Mais qu’importe. J’appelle mon Maître.
Il entre dans la Chambre, totalement nu, le sexe déjà en érection….Je ne résiste pas, je me jette dessus, je le suce. Plus que mes sentiments pour lui, c’est une réelle dépendance a son corps qu’il a créé en moi. Je suis fan de sa verge, de son corps en moi. Pour la première fois, ma fellation est gourmande, déchainée et je veux montrer ce que je veux.
Pourtant, il me tire les cheveux.
« Tu as quelque chose à me dire Maëline !
-
Pitié Maître, vous avez compris.
-
Tu as quelque chose à me dire MAELINE !!
-
Maître, vous avez compris puisque je vous ai sucée.
-
NE M’OBLIGE PAS A TE PUNIR MAELINE. TU AS QUELQUE CHOSE A ME DIRE.
-
(je baisse un instant les yeux, je prends ma respiration puis je regarde Maître dans les yeux) Maitre, j’accepte de rester votre soumise et de devenir votre femme comme vous me l’avez demandée.
-
Bien. ET ?
-
Et,……J’accepte également votre volonté de me faire tomber enceinte. Comme vous l’avez demandé, je vous demande de me mettre enceinte le plus vite possible. »
A peine ai-je finie de formuler cette demande qu’il m’agrippe par les cheveux, qu’il me jette sur le lit et qu’il me pénètre sèchement. Au contact de sa queue, je pars dans une jouissance folle, d’autant plus folle quand on sait l’importance de cette pénétration et les conséquences à venir.
Alors qu’il me baise sans ménagement, Maître me répète « Je vais te foutre enceinte ma soumise ». A force de l’entendre, je finis par l’intégrer et a m’y faire. Je me surprends d’ailleurs à l’encourager. « Allez y Maître, baisez moi, mettez moi enceinte. » Alors qu’il éjacule bien au fond de mon corps, il ne s’arrête pas pour autant. Surprise, je lui demande. « Vous avez encore envie, mon Maître ? » Il répond sobrement que « Non, mais pour te foutre enceinte, il en faut du sperme. »
Il finira comme a chaque fois, fortement planté en moi pour éjaculer et ainsi augmenter les chances de me féconder. Pour montrer ma bonne foi, je relève mes jambes le long du mur. Surpris mon Maître demande des explications. Même si je n’y crois pas moi-même, je tente le coup en expliquant que je fais couler le sperme le plus loin possible dans mon corps afin d’accroitre mes chances de tomber enceinte. Mais la situation est lourde en émotions et je pleure. Maître s’inquiète de mes larmes et je joue franc jeu.
« Maître, je ne vais pas changer d’avis, d’ailleurs il est trop tard. Mais je ne veux pas tomber enceinte. Alors oui, vous m’avez laissée le choix et j’ai fais mon choix. J’ai acceptée vos désirs et je m’y tiendrai, mais entre le faire pour vous et le vouloir, ne m’en demandez pas trop.
-
Je prends note de tout ca. Mais tu le sais, ne demande pas de pitié ou que je change d’avis. Tu vas tomber enceinte quoi qu’il arrive et le plus vite possible sera le mieux. Je ne changerai JAMAIS d’avis sur ce point.
-
Je sais Maître et je vais le faire. Je vais vous offrir ce bébé. Mais vous acceptez de me donner vos raisons ?
-
Je te dois bien ca en effet. Pour commencer, tu vas devenir ma femme. Cet après midi, nous irons trouver une robe de mariée pour toi. Samedi, tu deviens ma femme officiellement.
-
Quoi, déjà, si vite ?
-
Oui si vite ! Comme pour être enceinte, le plus vite est le mieux.
-
Mais excusez moi, mais pourquoi un tel empressement ? Je peux très bien rester votre soumise quelques temps et vous offrir un bébé plus tard ou devenir votre femme plus tard sans soucis.
-
Comme tu te doutes, je ne suis plus tout jeune. Te faire tomber enceinte m’éviteras de te voir partir et de me laisser seul comme j’en ai déjà tant souffert. De plus, si tu es ma femme, ca fera 2 arguments pour te garder à moi.
-
Vous faites tout ca par….peur d’être seul ?
-
…..
-
Maître ?
-
…..
-
Maître, je peux vous demander ?
-
Quoi ?
-
Êtes-vous….. amoureux de moi comme je le suis pour vous ? »
Pour simple réponse, il m’embrasse puis il me bouge pour m’allonger et à nouveau me pénétrer. Une forme que je ne lui connais pas. Il bande si fort en moi. Il me baise si fort. Il m’explique :
« Maëline, comme je te l’ai dis, je TE VEUX. Ce n’est pas par hasard que je veux te garder par tous les miens.
- Maître, vous savez a quel point je suis tombée amoureuse de vous. Un véritable coup de foudre incroyable compte tenu de notre différence d’âge. Mais accordez-moi le droit de repousser notre mariage afin de réussir à faire passer la nouvelle auprès de ma famille. D’ailleurs, si je suis enceinte, ca justifiera notre amour, notre mariage. »
Pour la première fois, Maître va laisser la raison l’emporter. Il m’accorde le report de notre mariage. Pour la grossesse, il est probable que ce soit déjà trop tard.
Les jours suivants, j’ai annoncé à mes parents être tombée amoureuse sans trop entrer dans les détails pour commencer. Mais ils savent que c’est un véritable coup de foudre mutuel intense. Arrive le mois d’aout ou j’étais censé partir avec mes parents pour 3 semaines de congés comme chaque année sauf que cette fois ci, je suis restée à la maison.
Evidemment, j’ai passée mes 3 semaines chez Maître à vivre de luxure et de soumission nue, totalement nue. Maître a commencé mon éducation de soumise sans négociations. Les choses étaient claires entre nous et il n’avait plus à me demander de valider ses choix. Offerte régulièrement a de parfaits inconnus, j’ai pris gout a ces gang bang et j’ai fais des découvertes sur mes capacités à accepter et a vivre une sexualité débridée. Pas un jour n’a passé sans que je ne sois pénétrée par Maître ou des convives.
Comme le 3eme jour où, j’ai due accueillir 6 hommes chez Maîtres et accepter d’être baisée toute la journée en doubles pénétrations la plus part du temps. Je suis devenue véritablement fan de ces orgies sexuelles ou je suis le centre des intentions. Durant les 3 semaines, Maître en a programmé 2 et j’en ai réclamée 1 dans le hangar. Maître m’a demandé de prévoir le scénario que je souhaitais vivre. J’ai demandée à vivre le plus gros gang bang possible, attachée, les yeux bandés, offerte comme jamais et ou je ne saurais jamais le nombre de participants prévu par mon Maître.
Maître a validé ma demande mais il a été clair, Il n’est pas question d’arrêter le gang bang parce que je ne tiens plus. Je dois assumer et aller au bout des choses. Puis il a ajouté que pendant ce gang bang, il me fallait avaler les dons de sperme et qu’il allait m’apprendre à aimer ca, comme pour la sodomie. Une nouvelle qui m’a chagrinée fortement car jusque la, Maître m’avait épargnée.
Sur les 2 jours suivants, Maître m’a remplie la bouche de son sperme et j’ai due avaler. Loin d’être facile, J’ai luttée pour accomplir les ordres de mon Maître. 2 jours plus tard, nous sommes allés dans le hangar. Je pensais l’heure du gang bang arrivé, mais Maître m’a dit que ce n’était pas le cas. J’ai revue les hommes qui m’ont pénétrée le tout premier lundi. Ce jour la, ils se sont branlés afin de m’éjaculer dans la bouche pour que j’avale. J’ai due avaler une quinzaine d’éjaculations ce jour la tout comme les 5 jours suivants. Car Maître a fait en sorte que ces partenaires reviennent pour m’habituer à recevoir le sperme en bouche, l’avaler sans aucune remontée. Force est de reconnaitre que bien qu’extrême, la méthode a porté ses fruits. Sans y prendre vraiment gout, j’ai finie par m’habituer à la texture et au gout. Et Maître à une fois de plus réussit son pari dans sa volonté de me faire vivre l’extrême
Le jour J a fini par arriver. Maître m’a transportée nue et les yeux bandés vers le hangar. A notre arrivée, j’ai eue des gros frissons avec tout ce bruit d’hommes qui parlaient entre eux. Maître me tenait le bras pour me guider vers le centre de la pièce. Une fois sur place :
« - Tu es prête ma soumise ?
-
Oui mon Maître.
-
Tu as peur ?
-
Un peu oui. Ils sont si nombreux que ca ?
-
Tu ne le sauras pas. C’est TA demande.
-
Je sais Maître.
-
Tu veux partir ? Je t’offre la possibilité de ne pas faire ce gang bang.
-
Vous êtes sérieux ?
-
Oui, car ce n’est pas mon choix, mais ta demande et crois moi, ca va être très violent, très extrême.
-
Heu vous me faites peur la.
-
J’ai toujours été franc et honnête avec toi. Si tu fais ce gang bang, tu t’en souviendras toute ta vie.
-
Arrêtez s’il vous plait. Si vous continuez je ne vais pas réussir à le faire.
-
(Il passe une main sur ma chatte, déjà fortement trempée) Tu es vraiment une salope. Je ne me suis pas trompé.
-
Pitié Maître, faites commencer ce gang bang avant que je ne change d’avis.
-
Tu l’auras voulue. Tu ne pourras pas dire que je ne t’ai pas prévenue. Quand je vais lâcher ton bras, il sera trop tard.
-
MAÎTRE !! Arrêtez de me torturer l’esprit. Faites comm…. »
Il à lâché mon bras et mon cœur s’emballe dans ma poitrine. Mon dieu, ca y est, ca va commencer. Maître donne le coup d’envoi de mon incroyable souhait.
« Puisqu’elle le demande, Alors allez-y Messieurs, Baisez moi cette salope et pas de pitié. Vous pouvez la baiser autant que vous voulez, elle est la pour vous vider les couilles. Faites vous plaisir »
Déjà les premières mains se font sentir sur mon corps et le moins que je puisse dire, c’est qu’ils semblent vraiment nombreux. Mon cœur s’emballe encore plus quand arrive la première pénétration. Un premier orgasme me traverse le corps. Ma bouche ne reste pas en reste et me voila dans mon gang bang ou rien ne compte. Je l’ai tellement attendu ce gang bang…
La journée sera mémorable. Des doubles pénétrations, des pipes, gorges profondes, tout va y passer. Je vais me faire baiser de longues minutes, de longues heures…Alors que je montre quelques signes de fatigues a cet incroyable gang bang, les doubles pénétrations ne s’arrêtent pas pour autant. Maître l’a remarqué.
« Alors, ca devient dur ? Pourtant, tu es loin d’avoir finie. Je t’avais prévenu. Tu as voulue un gros gang bang, je t’ai offert un gros gang bang. Maintenant assumes ma petite salope. »
Je vais retrouver un second souffle pour poursuivre ce gang bang. Mais, après de longues minutes, j’arrive au bout de mes forces. Je ne réussis plus à sucer et mes orifices me font de plus en plus mal, malgré la crème que Maître applique régulièrement. Epuisée, je ne vais pas réussir a aller au bout de ce gang bang prévu par mon Maître. Il y mettra un terme et, totalement épuisée, il me portera à la voiture puis dans le lit alors que je dors déjà. Le lendemain, Maître me ramène à nouveau dans le hangar pour nettoyer la pièce. Je suis abasourdie de voir les capotes au sol. Tout ca pour….moi ?
« Alors Maëline, tu découvre l’ampleur de ton gang bang ?
-
Heu…oui. Mais dites moi, toutes ces capotes ont servis pour …..moi ?
-
Oui, elles ont toutes servies pour te baiser.
-
Je comprends mieux pourquoi j’étais si épuisée.
-
Tu as voulue le plus gros gang bang possible, tu l’as eue.
-
Est-ce que tous les participants m’ont pénétrée au moins une fois ?
-
A ta demande, je ne te le dirai pas. N’insiste pas. »
Je vais mettre une semaine à m’en remettre, semaine qui concorde avec le retour de mes parents.
Entre temps, a la 6eme semaine de notre histoire, un premier test, confirmé par une prise de sang valide ma grossesse. Maître m’a mise enceinte. Fin aout, j’ai annoncé la nouvelle a mes parents qui ont eus beaucoup de mal a comprendre que ca aille si vite. Ils ont encore moins compris lorsque j’ai présenté mon amour, mon futur mari. Sans toutefois tenter de me convaincre, ils ont eus beaucoup de mal a accepter. Je me suis installée chez mon Maître à l’issue de ma semaine de repos passé chez mes parents. J’ai sentie beaucoup de défiance de mes parents envers ma relation.
Fin septembre, je suis devenue la femme d’un homme de 59 ans. Maître est plus que l’âgé de mes parents et il a 40 ans de plus que moi. Maître m’a accueillie chez lui, devenu chez nous. J’ai poursuivis mes études en candidate libre du faite de ma grossesse. Maître ne m’a jamais laissée tomber. Il est tout le temps resté proche de moi et de ma santé. Pendant ma grossesse mais aussi après la naissance de notre enfant. Début avril, j’ai donnée naissance à une petite fille, fruit d’un coup de foudre, d’un feu d’artifice. C’est Maître qui imposera le prénom de son choix sans me demander mon avis.
Ensuite, je me suis donnée corps et âme a mon Maître, a mon mari. Mon éducation de soumise a été parfois très dur. Les punitions se sont parfois succédé mais qu’importe. Je suis soumise et heureuse d’appartenir a mon Maître. Mes parents ont reconnus que notre union, bien que surprenante était forte et beau a voir. Mes parents ont reconnus qu’il avait su faire de moi une vraie femme distinguée, élégante, féminine à souhait et que l’évolution est saisissante. Rien n’était trop beau pour moi, aux yeux de Maître. Des robes de grande classe sans que ce soit de la haute couture. Des séances manucures, pédicures, de coiffure, de détente. J’ai beau être soumise, mais Maître a su bichonner la femme aussi.
Maître m’a annoncé qu’il voulait d’autres enfants et que je devais être prête à tomber enceinte selon ses ordres. Après l’avoir fait une fois, et étant mariés, plus rien ne pouvait m’empêcher de satisfaire mon Maître. « Faites vous plaisir, mon Maître. Mettez-moi enceinte comme bon vous semble. »
Du coup, alors qu’il pensait attendre un peu, il m’a remise enceinte directement. J’ai 21 ans et je donne naissance a notre 2ème enfant le…..12 juillet. Un petit garçon qui portera le prénom de mon choix. Rapidement après la naissance de notre fils, Maître a souhaité que je retombe enceinte une nouvelle fois. Une 3eme grossesse très proche des 2 premières ou j’ai donnée naissance a des faux jumeaux. 4 enfants en un peu plus de 4 ans et j’étais heureuse. Après la naissance des jumeaux, ma gynéco m’a prévenue qu’il est fortement recommandé d’attendre 1 an et demi pour une éventuelle nouvelle grossesse. Surtout après avoir eue des jumeaux. Ce a quoi Maître a répondu « Dans un an et demi, je te remets enceinte. Tu es tellement jolie quand tu es enceinte. »
1 an et demi après la naissance de nos jumeaux, j’ai demandé à Maître de me mettre enceinte car moi aussi je me sentais si bien enceinte. Maître ne s’est pas fait prier. Notre 5eme enfant né, qu’une nouvelle grossesse, non désirée, m’a été confirmée. Un retour de couche comme on dit.
Cette fois, nous avons faits attention. 1 an de repos que nous nous sommes imposés pour ne prendre aucun risque avec ma vie, ma santé. Avoir 6 enfants en 8 ans est beaucoup. Bien que nous ayons eus des jumeaux, je sentais que je devais être plus prudente. Mais au bout de cette année, Maître m’a mise a nouveau enceinte car mon ventre rond lui manquait. Je dois reconnaitre que mon statut de femme enceinte m’a aussi fortement manqué.
Nous avons faits construire une grande maison pour répondre aux exigences du à notre grande famille. Je ne pouvais pas travailler car j’étais en permanence enceinte ou presque et je m’occupais de notre famille nombreuse. Pourtant, Maître a réussit à financer une très grande maison sans que je ne comprenne comment. Ne pas travailler me permettais de poursuivre mes nombreux gang bang ou d’être offerte a des inconnus et ainsi calmer mon trop fort appétit sexuel que Maître a su créer en moi et que seul, il ne pouvait combler.
Rien ne pouvait venir perturber ma frénésie de grossesse et après ce nouvel enfant, le 7eme, je suis retombée enceinte une nouvelle fois en retour de couche. Quand Maître a apprit que nous attendions des jumeaux, il m’a vite fait savoir qu’il en faudra un 10eme après. Evidemment, j’étais parfaitement d’accord.
Sauf que Maître ne me fera jamais ce 10eme enfant. Il vient de nous quitter à 70 ans. J’ai 30 ans, 9 enfants et je suis veuve. Malgré cette tristesse, Maître me laisse 9 merveilleux enfants et un patrimoine que je ne connaissais pas. Maître possédait des appartements et des maisons qu’il louait. Ca a expliqué en très grande partie la construction de notre grande maison. De plus, il a laissé un capital financier important qui nous met a l’abri pour plusieurs années. Bien que je n’aie pas la moindre preuve, je me demande si Maître ne m’a pas prostituée durant ces 11 années avec tous ces gangs bang ou a force d’être offerte régulièrement comme ca. Mais qu’importe, je saurais faire bon usage de tout cet argent.
Enfin, puisque je ne suis pas soumise pour rien, Maître m’a écrit une lettre post mortem ou il explique qu’il souhaite me voir devenir la soumise d’un de ces amis de confiance une fois que mon deuil sera fait.
Afin de respecter le souhait de l’homme qui était mon Maître avant d’être mon mari, je me suis présentée à son ami. Je connaissais très bien cet homme que nous recevions très souvent à la maison et qui m’a si souvent pénétrée. Dès le premier jour, il m’a pénétrée sans capotes. Curieuse, je lui ai demandée s’il voulait me mettre enceinte. Pour réponse, il m’a présenté une 2eme lettre de mon défunt Maître ou il a fait mention d’un 10eme enfant avec cet homme, devenu mon Maître, 5 mois plus tard il devenait mon mari et 9 mois plus tard, le père de mon 10eme et dernier enfant.
Mon défunt Maître avait raison de me conseillé son ami car a travers mon nouveau Maître, j’ai poursuivie la même vie de soumise qu’a mes 19 ans. Une activité sexuelle débordante, sans doute de la prostitution bien que mon nouveau Maître nie catégoriquement. Qu’importe, tout ce qui compte pour moi c’est d’être baisée et bien baisée. Grace a mon défunt Maître, je suis devenue une goulue de sexe qui s’assume pleinement et qui ne cache pas son plaisir à coucher avec plusieurs hommes.
Je m’appelle Maëline, j’ai 32 ans, 10 merveilleux enfants, je suis veuve et mariée à cet homme de 49 ans devenu mon Maître. J’ai découvert qu’il me mentait sur la prostitution et qui plus est, je n’étais pas aussi à l’aise avec lui qu’avec mon défunt Maître. Je ne lui en veux pas de m’avoir prostitué, car au fond de moi, je le savais et je l’acceptais. Je lui en veux juste de m’avoir mentie. Pour le reste, c’est le feeling qui ne passait pas. Il a cessé d’être mon Maître mais il reste mon mari avec le quel je couche normalement. Naturellement, j’ai progressivement cessée mes gang bang et par conséquence, ma prostitution.
Je suis retournée plusieurs fois dans le centre commercial ou a chaque fois que je passe devant les toilettes, j’ai comme un pincement au cœur. Ce lieu n’a pas changé. Il y a toujours aussi peu de toilettes pour les femmes et les files d’attentes sont régulières.
Ce 12 Juillet, je me rends dans le centre commercial. Une voisine me garde les enfants. Alors que je regarde l’entrée des toilettes, je remarque une jeune demoiselle qui va chez….les hommes. Quelle coïncidence extraordinaire. Je la suis discrètement, je l’observe et elle choisit la même porte au fond que moi, 14 ans plus tôt.
Pas un homme ne va la suivre, personne ne l’a remarquée a part moi. Elle est peut être passée à coté d’une vie incroyable.
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